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CDC Arkhinéo en 5 questions clés

RécapitulatifLecture : 4 min

nterview de Philippe DELAHAYE, Directeur Business Development chez CDC Arkhinéo – CDC Arkhinéo est un des partenaires historiques de Docusign et un des acteurs incontournables du marché de l’archivage en France et en Europe.

Interview de Philippe DELAHAYE, Directeur Business Development chez CDC Arkhinéo – CDC Arkhinéo est un des partenaires historiques de Docusign et un des acteurs incontournables du marché de l’archivage en France et en Europe.

  • Qu’est ce qui fait aujourd’hui la force de CDC Arhineo ?

CDC Arkhineo a été, il y a 15 ans, le premier Tiers archiveur du marché.

Nous proposons exclusivement une offre d’archivage électronique à vocation probatoire, ce qui nous permet d’y consacrer 100% de nos ressources R&D, évitant ainsi la dispersion de ces ressources sur plusieurs offres : éditique, numérisation, sauvegarde.

Nous nous distinguons par :

  • une capacité de production très importante alliée à un modèle commercial majoritairement indirect,

  • la conformité,

  • un engagement contractuel sur les données confiées,

  • la culture de innovation.

A fin 2016, près de 1,3 Milliard d’archives seront disponibles sur notre plateforme qui traite actuellement en moyenne 9 archives nouvelles/seconde via 70 partenaires dont Docusign est aujourd’hui l’un des plus importants (avec plus de 3 millions de documents signés/mois).

25% des factures électroniques émises en France sont archivées chez nous… Enfin, notre actionnariat 100% CDC (tiers de confiance depuis 1816) constitue un gage de pérennité non négligeable.

  • La solution CDC est-elle conforme avec la réglementation en vigueur ?

Il existe évidemment un cadre complet sur le sujet de l’archivage qui va des législations existantes dans chaque pays de l’UE concernant l’archivage légal, au règlement européen eiDAS sur la conservation des signatures électroniques, en passant par les législations locales s’agissant de la conservation intégre des documents signés, et enfin les normes en vigueur qui sont au nombre de 2 : NF Z 42-013 pour la France et ISO 14641-1 pour l’international.

L’archivage légal s’impose aux documents électroniques comme il s’impose pour les documents papier… et pour les mêmes durées parfois très longues, ce qui n’est pas neutre s’agissant de fichiers informatiques dont il convient de maintenir l’intégrité, la disponibilité et la traçabilité des accès.

Pour ceux qui souhaiteraient avoir plus d’informations sur la réglementation en vigueur nous allons développer cette thématique en détail lors d’un atelier sur ce sujet lors du MomentumX du 24 novembre prochain.

  • Quels bénéfices concrets peuvent tirer les entreprises ?

Les entreprises sont alors en mesure de faire face aux contraintes de conformité, de recevabilité juridique en cas de contentieux, de contrôles de l’administration ou d’autorités de tutelle (DGI, URSSAF, ACPR, etc.). Elles s’affranchissent ainsi de toute suspicion de manipulation des preuves par l’entreprise puisque confiées à un tiers depuis l’origine (horodatage d’archivage).

Elles s’appuient également sur la robustesse d’un dossier de preuve qui fait déjà face avec succès à différentes actions contentieuses.

Elles bénéficient enfin d’une solution souple (pas d’investissement préalable, facturation à la consommation, réversibilité).

  • Quels sont les principaux enjeux auxquels doivent faire face les entreprises et les collectivités aujourd’hui dans la gestion de leurs documents et transactions ?

Toujours la conformité : le renforcement régulier des contraintes légales et règlementaires, le contexte normatif qui s’étoffe sans cesse et nécessite des solutions pouvant s’adapter très rapidement à cette évolution ; sans investissement, ni développement informatique, ni multiples audits de conformité  ou contrôles annuels…

A cela, il convient d’associer le sujet de la localisation des données ainsi que celui des données personnelles (leur non soumission à des lois étrangères impliquant une extension territoriale à leurs prestataires de conservation), la vigilance quant à la non-exploitation de celles-ci par un prestataire qui auraient des métiers « connexes » intéressés par ce type de données.

Enfin vient le sujet de la relisibilité des documents dans le temps (choix des formats, contrôle et validation de ceux-ci).

  • Quelles sont vos perspectives  ?

Dans l’immédiat, la sortie dans quelques jours d’une évolution majeure de notre SAE (V2.0) avec de nouvelles interfaces web incluant de nombreuses nouveautés dont une app IOS/ANDROID d’authentification multi-facteurs, la consultation des archives et des statistiques etc. via une app IOS/ANDROID,

Ensuite, développer notre présence internationale : des annonces sont à venir prochainement avec la mise en place d’une plateforme dans un pays majeur de l’UE et un réseau de distributeurs, toujours dans l’UE.

Interview par Coppélia SEGUIN

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